• La rénovation du stade nautique de Coubertin (8,8 M€) à Clermont-Ferrand comprenant la création d’un bassin de 33 mètres, un nouvel espace détente et une aire de jeux d’eau extérieure.
• La réalisation d’un centre d’activités et de loisirs verts (1,5 M€) sur le site du « Château » à Saint-Genès-Champanelle pour la pratique des activités de pleine nature.
• La création d’un pôle culturel à Croix-de-Neyrat (2,5 M€ pour un coût final global estimé à 6,6 M€ HT) à Clermont-Ferrand avec une médiathèque et un espace musical, lieu de répétitions et de fonds documentaire.
• La reconstruction de la médiathèque Alphonse-Daudet (1,9 M€ pour un coût final global estimé à 2,62 M€ HT) à Gerzat, un équipement de 600 m² avec de vastes espaces, un parvis généreux et un jardin d’hiver.
• La requalification des zones d’activités Cournon-Le Cendre et Clermont Sud-Aubière (2 M€) qui correspond à la mise en œuvre de tout un programme de modernisation et de valorisation des sites.
• La création d’une auberge de jeunesse (2,6 M€ pour un coût final global estimé à 4,9 M€ HT) près de du CHU Estaing à Clermont-Ferrand avec 137 lits, un espace détente, une cafeteria, des salles de réunion et un garage à vélos.
• La construction d’un bassin d’orage de 25.000 m³ sur l’Auzon (1 M€) au Cendre, destiné à protéger le bourg des crues les plus fréquentes.

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Continuer à se développer malgré les contraintes

Pour son premier budget en tant que Métropole, l’institution a dû composer dans des conditions contraintes par l’État. La Loi de finances lui impose - comme à toutes les collectivités de sa taille - de ne pas dépasser une limite de 1,2 % dans l’augmentation des dépenses de fonctionnement, sans quoi elle devra s’acquitter d’une pénalité financière.

L’année 2017, référence choisie par l’État, pénalise Clermont Auvergne Métropole. Sur cette période, l’institution a pris en charge des coûts supplémentaires en lien avec son changement de statut et les transferts de compétences et de personnels.

En choisissant de devenir Métropole, les élus ont fait le pari de peser davantage sur l’échiquier régional, national et international. Clermont Auvergne Métropole va ainsi devoir redoubler de vigilance tout en poursuivant le développement de ses politiques.

Une meilleure répartition des recettes fiscales

Depuis 2014, l’exécutif communautaire a maintenu les taux d’imposition inchangés. Cette année, les maires et vice-présidents souhaitent répartir autrement les recettes fiscales pour continuer à assurer un développement métropolitain sur la base de fonds propres.

Constatant un niveau de ressources suffisant sur le budget des déchets ménagers, ils ont décidé de diminuer le taux de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (-0,71 points). Cette baisse sera compensée par une hausse, en même proportion, de la taxe foncière sur les propriétés bâties.

Pour la Métropole, le produit fiscal supplémentaire généré par cette décision est estimé à 2,8 M€ par an sur le budget principal, les recettes du budget annexe « déchets ménagers » diminuant d’autant.